Géorgie : un pays dangereux ou sûr en 2026 ?

La Géorgie attire de plus en plus de visiteurs, mais nombreux sont ceux qui la croient dangereuse. Cette perception erronée vient souvent de sa localisation et des tensions géopolitiques régionales. Le pays reste méconnu internationalement, ce qui alimente les craintes injustifiées. Pourtant, la Géorgie figure parmi les destinations les plus sûres que j’ai connues. La sécurité à Tbilissi dépasse celle de nombreuses capitales ouest-européennes. Jamais vous ne verrez d’acte d’incivilité comme c’est souvent le cas à Paris. En quittant le pays, je dois réapprendre à être vigilant, tant la Géorgie m’a habitué à un sentiment de sûreté exceptionnel. Cette perception s’appuie sur des données concrètes. Dans cet article, j’examine les principales inquiétudes des touristes visitant la Géorgie et partage mes conseils de sécurité, issus de plusieurs années passées sur place, pour vous permettre de voyager en toute confiance.

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Quelle est la situation actuelle en Géorgie ?

Suite aux élections législatives géorgiennes d’Octobre 2024, nous avons pu assister à de violentes manifestations dans les rues de Tbilissi et dans quelques grandes villes du pays. Nous parlons ici d’environ 200 000 manifestants qui sont à mettre en perspective avec les gilets jaunes français qui ont regroupé au minimum 300 000 personnes selon le ministère de l’intérieur et jusqu’à 1 300 000 manifestants selon le syndicat France-Police.

Depuis cette date, la situation en Géorgie s’est très largement calmée. Nous avons pu voir quelques blocages autour du parlement sur l’Avenue Rustaveli à Tbilissi après les élections du maire de la ville mais rien de plus. Même ces événements restent mineurs car les manifestants ne bloquent la circulation que de 18h00 à 00h00. C’est par conséquent très localisé et en tant que touriste il est fort probable que vous ne vous en rendiez même pas compte. En région, il ne se passe rien.

Mon conseil de sécurité à Tbilissi

En tant que visiteur, la seule précaution particulière à prendre en matière de sécurité personnelle est d’éviter la zone de manifestation la nuit, et plus précisément d’éviter de marcher sur l’avenue Rustaveli près du Parlement après la tombée de la nuit. En dehors de cette zone, il n’y a aucun risque particulier pour la sécurité des touristes. Même si aucun endroit au monde n’offre une sécurité garantie à 100 %, Tbilissi reste une ville extrêmement sûre par rapport à d’autres villes.

Y a-t-il un sentiment anti-étrangers ?

Les touristes demeurent pleinement bienvenus en Géorgie, où aucun sentiment anti-étranger n’existe lié aux événements récents. Le tourisme représente un pilier économique essentiel, et les entreprises locales encouragent activement l’arrivée de visiteurs pour compenser les pertes hivernales. Loin de souhaiter décourager les voyageurs, les Géorgiens aspirent à ce que le monde comprenne leur situation et reconnaissent le rôle crucial du tourisme dans cette démarche de visibilité internationale.

Que dit le gouvernement sur la sécurité en Géorgie ?

Quelques statistiques pour y voir plus clair

La Géorgie est généralement perçue comme un pays très sûr, ce qui est étayé par plusieurs indices statistiques. Selon l’indice de criminalité Numbeo, la Géorgie se classe actuellement au 21e rang mondial en matière de sécurité, se situant juste derrière des pays comme le Danemark et l’Islande. La capitale, Tbilissi, est également reconnue comme l’une des villes les plus sûres, se classant au 44e rang sur 380 villes dans l’indice de sécurité 2025. Ces perceptions sont consolidées par le score de 86 sur 100 obtenu par la Géorgie dans l’indice de droit et d’ordre Gallup, la plaçant parmi les 35 pays les plus sûrs sur les 140 pays sondés, et le nombre de crimes signalés reste faible. Cependant, les préoccupations majeures concernent la sécurité routière : on dénombre plus de 5 000 accidents de la circulation signalés chaque année, et le coût des blessures et des dommages causés par ces accidents représente 5 % du PIB de la Géorgie. En outre, sur le plan des contraintes géographiques liées à la sécurité, il est formellement conseillé d’éviter les déplacements dans les zones situées à moins de 5 km de la frontière avec la Russie et des lignes de démarcation administrative avec les régions occupées d’Ossétie du Sud et d’Abkhazie. Un autre chiffre notable est la présence d’environ 30 000 chiens errants recensés dans la seule ville de Tbilissi.

Recommandation de la France

Je vais cité directement le site du ministère des affaires étrangères pour faire simple : « La Géorgie est, dans son ensemble, un pays sûr, dans lequel il est possible de voyager sans grande difficulté à l’exception des zones déconseillées qui apparaissent en rouge sur la carte sécuritaire ci-dessous. Il convient toutefois d’appliquer des règles de prudence élémentaire ».

Recommandations des autres pays

Le gouvernement canadien recommande de « prendre des mesures de sécurité normales en Géorgie » alors que le royaume de Belgique recommande de « respecter les précautions d’usage, il est généralement possible de voyager en Géorgie en toute sécurité ».

Délinquance et criminalité en Géorgie

La Géorgie est généralement considérée comme un pays où la petite délinquance est faible, se classant bas dans les indices de criminalité par rapport à de nombreuses villes occidentales. Néanmoins, les voyageurs sont invités à être prudents face aux crimes mineurs, tels que les pickpockets et les vols de sacs à main, qui se produisent principalement dans les zones urbaines très fréquentées et les transports publics comme le métro. Personnellement je n’ai jamais vu de tel acte se produire alors que je l’ai déjà vu plusieurs fois en France. Par mesure de sécurité, il est logique de toujours ranger ses effets personnels en lieu sûr et d’éviter d’étaler sa richesse.

Un risque notable peut concerner les arnaques financières liées aux changes de devise. Certaines petites enseignes peuvent être plus laxistes que d’autres. Pour éviter ce genre de problème, je vous invite à toujours changer chez Rico Credit (photo ci-contre). Cette petite banque est spécialisée dans les échanges et transferts de devise ce qui vous garantira le meilleur taux de change en plus de la sécurité.

Par ailleurs, je n’ai jamais vu de vols à la tire ou d’entraîneur visant à diriger le touriste vers une arnaque. Cela dit, restez vigilant comme vous le ferez dans n’importe quel autre pays.

Y a-t-il des mendiants en Géorgie ?

De manière générale, non, il n’y a quasiment pas de mendicité en Géorgie. Néanmoins, vous pourrez peut-être en croiser sur le trottoir 
devant le centre commercial Galleria à Tbilissi, tout comme aux environs de la station de métro Marjanishvili, la rue Shardeni dans la vieille ville, la place de la liberté et la place de l’Europe près du pont de la Paix. En dehors de ces zones touristiques bien précises, j’ai rarement vu de mendiants. Par ailleurs, ils ne sont pas du tout agressifs.

Les rabatteurs de Tbilissi : un problème de sécurité ou non ?

Encore un sujet plus que mineur. Les rabatteurs sont plus une nuisance qu’un problème de sécurité. Il y a que trois points en Géorgie avec ce genre de pratiques :

• Sur le pont de la paix à Tbilissi, des jeunes vous proposeront un tour en bateau. Répondez simplement que vous n’êtes pas intéressés.
• Sur la rue Shardeni de Tbilissi, tous les rabatteurs des restaurants vous inviteront à venir manger chez eux. N’y prêtez pas attention. Ces restaurants ne sont pas forcement mauvais, ils sont juste très touristiques. Voyez plutôt les meilleurs restaurants de Tbilissi ici.
• Le dernier point concerne également les rabatteurs des restaurants de la rue David Aghmashenebeli qui cherchent surtout des clients musulmans.

Arnaques dans les bars, restaurants et marchés de Géorgie

Encore une question de bon sens. Lorsque vous achetez de la nourriture, des boissons ou des souvenirs au marché, demandez toujours le prix avant d’acheter. N’achetez jamais rien dans un restaurant ou un bar sans vérifier le prix sur le menu. Ne payez jamais l’addition sans vérifier le détail des articles.

Le géorgien n’est pas un arnaqueur. Il ne va pas chercher à vous arnaquer à tout prix. Néanmoins, comme dans tous les pays, on voit le « pigeon » arriver de loin. Connaître la valeur des choses est important car il n’y a quasiment pas de négociation en Géorgie. Soit vous prenez soit vous prenez pas. Il est mal vu de négocier les prix.

Est-ce que je dois laisser un pourboire au restaurant ?

Le pourboire ne fait pas partie de la culture géorgienne et n’est pas considéré comme obligatoire. Toutefois, le pourboire est désormais attendu dans la plupart des secteurs de services, en particulier à Tbilissi, et surtout lorsqu’il s’agit de touristes.

Le principe de bon sens qui veut que l’on ne donne un pourboire que si l’on est satisfait du service s’applique. Personnellement, je donne presque toujours un pourboire quand le service est bon car je comprends que les salaires sont bas (entre 40 et 60 GEL par jour est une moyenne pour un serveur de restaurant).

Vous remarquerez que de nombreux restaurants, bars et cafés ajoutent 10 % de « frais de service » à l’addition et parfois même 18 % de TVA. C’est du vol surtout quand le pourboire n’est pratiquement jamais versé au serveur. Il est utilisé à d’autres fins, par exemple pour remplacer les assiettes et les verres cassés. Dans ces lieux, je préfère ne rien laisser ou donner au serveur en main propre.

La sécurité routière en Géorgie

La conduite en Géorgie se fait à droite. C’est plus ou moins la seule règle… Sinon voici une liste non exhaustive de ce qu’il vous attend : excès de vitesse, dépassement par la droite, aucune connaissance de l’utilisation des ronds points, le clignotant veut dire “je tourne” et non “je vais tourner”, création de nouvelles voies de circulation, agressivité, utilisation sans cesse des avertisseurs sonores et dépassement avec voiture en face. Pour pallier à toutes les éventualités, votre conduite doit être souple et vigilante.

Par ailleurs, les routes de montagne peuvent être très dangereuses et mal entretenues (glissement de terrain, chutes de neige etc…). Ah j’oubliais, il n’y a pas ou très peu d’éclairage la nuit dans les campagnes.

En l’absence de consensus autour des règles de circulation, je plaide pour le choix d’un chauffeur maîtrisant pleinement les traditions locales. D’ailleurs, je suis à votre disposition

Danger : les piétons n’ont pas la priorité !

Les piétons doivent redoubler de prudence sur les routes géorgiennes. Les passages piétons et les feux de signalisation sont fréquents à Tbilissi et dans toutes les villes, mais il ne faut jamais présumer que les voitures s’arrêteront . Les voitures qui tournent brusquement peuvent couper la route aux piétons. J’ai moi-même frôlé la catastrophe à plusieurs reprises. Ne tentez jamais de traverser une grande rue de Tbilissi s’il n’y a pas de passage piéton. Cherchez plutôt un passage souterrain.

Comment louer une voiture en Géorgie ?

Si vous ne souhaitez vraiment pas utiliser mes services de guidage et que vous êtes prêt à tenter l’aventure sur les routes géorgiennes, alors je vous conseille d’utiliser LOCALRENT.

Ce site propose de vous mettre en relation avec des particuliers et des petites entreprises qui ont leur propre flotte de voitures. Cela permet d’avoir le meilleur prix (à partir de 25$ par jour). Vous pouvez ajouter des options à votre location comme une assurance ou un siège enfant. J’ai utilisé ce service de nombreuses fois et je n’ai jamais eu de problème. Le seul inconvénient que je peux souligner est la distance à parcourir pour récupérer la voiture si la livraison n’est pas possible. En effet, elles se trouvent généralement dans des quartiers résidentiels éloignés.

Peut-on visiter l’Abkhazie ou l’Ossétie du Sud ?

Les autorités déconseillent formellement tout voyage dans les régions occupées d’Abkhazie et d’Ossétie du Sud, ainsi que dans les zones situées à moins de 5 km de leurs lignes de démarcation administrative ou de la frontière avec la Russie. La réponse à la question de savoir s’il est possible de visiter ces zones est donc catégoriquement négative, car ces territoires ne sont pas sous le contrôle effectif des autorités géorgiennes. Tenter d’entrer en Géorgie depuis la Russie via l’Abkhazie ou l’Ossétie du Sud est illégal, car le gouvernement géorgien ne reconnaît pas ces postes frontaliers, ce qui peut entraîner de lourdes amendes et des peines de prison. Par ailleurs, il n’y a pas d’assistance consulaire.

Maintenant dans la réalité, il est impossible d’aller en Ossétie du Sud depuis la Géorgie, néanmoins vous pouvez vous en approcher si vous faites la balade dans la vallée de Truso ou si vous allez au col de Mamison. Dans le premier cas, les gardes frontières vous bloquerons la route si vous essayez de dépasser la forteresse de Zakagori et dans l’autre cas il faut un permis spécial à demander à la police. Ensuite, je vous déconseille d’approcher de Tskhinvali.

Concernant l’Abkhazie, vous pouvez entrer dans la zone via le poste de frontière de Rukhi. Il vous faudra passer le poste de frontière Géorgien puis franchir le pont à pied avant d’arriver au check-point russe et la douane abkhaze. Les géorgiens ne tamponneront pas votre passeport car pour eux vous n’êtes pas sorti du pays. Si vous souhaitez revenir en Géorgie, il vous faudra absolument revenir par ce passage et sans tampon russe. Sachez qu’il n’y a aucune garantie de pouvoir sortir et/ou entrer en Abkhazie donc ce genre d’expédition est à vos risques et périls.

Le problème des chiens errants en Géorgie

La Géorgie compte environ 30 000 chiens errants à Tbilissi. Beaucoup portent une étiquette jaune ou verte à l’oreille, indiquant qu’ils ont été stérilisés et vaccinés par un programme gouvernemental. Ces chiens urbains, nourris et soignés par la communauté, se montrent généralement doux et affectueux, se rassemblant près des sites touristiques sans jamais manifester d’agressivité envers les humains.

Les chiens de berger des montagnes et zones rurales présentent un danger bien différent. Élevés pour protéger les troupeaux contre les loups et les voleurs, ils défendent leur territoire avec férocité. Lors de randonnées, évitez les zones où paissent moutons ou vaches, ou marchez d’un pas assuré pour montrer que vous ne représentez pas une menace. En cas d’agressivité, immobilisez-vous et criez pour alerter le berger. Pour les randonneurs inquiets, un appareil à ultrasons anti-chiens constitue un investissement sûr.

Est-ce que l’eau du robinet est potable ?

L’eau du robinet est généralement potable car elle vient des sources avoisinantes. Les géorgiens boivent l’eau du robinet et en sont fiers. Néanmoins, vérifiez que celle-ci soit totalement transparente et sans odeur particulière en la faisant couler abondamment avant de la boire. En effet, les coupures d’eau sont très fréquentes. Après une coupure, l’eau va couler marron pendant quelques minutes. Vous n’avez pas envie de la boire. J’ai fait l’expérience et elle n’est pas plaisante. Sur les routes de Géorgie, vous verrez souvent des voitures arrêtées à une source d’eau avec des bouteilles de 5 litres. La Géorgie est le paradis des eaux de source. C’est d’ailleurs le premier produit d’exportation.

Les enfants sont-ils en sécurité en Géorgie ?

La Géorgie attire de plus en plus de familles avec enfants, qui sont particulièrement choyés dans la culture géorgienne. Les bébés et jeunes enfants reçoivent un accueil chaleureux dans les restaurants et maisons d’hôtes, faisant de ce pays une destination familiale appréciée.

Le principal danger concerne l’absence de barrières de sécurité sur certains sites patrimoniaux comme Vardzia, Uplistsikhe ou le canyon de Martvili, ainsi que les murs délabrés de la forteresse de Narikala (en cours de rénovation en 2026). Il convient également de vérifier que les hébergements sont adaptés aux enfants. Globalement, la Géorgie reste une destination sûre offrant de nombreuses activités familiales.

Qu’en est-il de la sécurité pour les femmes voyageant seules ?

Les femmes se sentent généralement en sécurité en Géorgie, bien que l’expérience diffère lorsqu’elles voyagent seules. Cette société patriarcale présente des défis spécifiques : regards insistants, suivis dans les lieux publics, et plus rarement harcèlement ou exhibitionnisme. Malgré ces incidents, de nombreuses femmes voyagent et randonnent seules dans le pays, en gardant à l’esprit qu’il existe des comportements inappropriés partout, même en Géorgie.

Pour voyager seule en sûreté, adoptez des précautions supplémentaires : évitez les déplacements nocturnes solitaires, vérifiez que votre chambre ferme à clé (particulièrement en maison d’hôtes rurale), et privilégiez les hébergements offrant davantage d’intimité plutôt que les locations avec cours partagées. Habillez-vous de manière conservatrice pour respecter les codes locaux et vous fondre dans la masse. Dans les régions montagneuses isolées, voyagez en groupe, réservez votre hébergement à l’avance et maintenez le contact avec vos hôtes pour garantir votre sécurité.

Et la sécurité des minorité LGBTQ+ ?

La Géorgie présente une situation contradictoire pour la communauté LGBTQ+. Bien que le pays ait légalisé l’homosexualité en 2000 et adopté des lois anti-discrimination entre 2006 et 2014, la société reste profondément conservatrice, influencée par l’Église orthodoxe. Un sondage de 2015 révélait que 93% des Géorgiens considéraient l’homosexualité inacceptable. En 2018, un interdit constitutionnel sur le mariage gay a été instauré, suivi d’une loi anti-LGBTQ+ en octobre 2024. Pour les locaux, vivre ouvertement son homosexualité reste dangereux, mettant en péril carrières et sécurité personnelle.

Malgré ces défis, des signes d’évolution apparaissent, particulièrement à Tbilissi où la scène gay se développe avec des lieux comme le Bassiani et des événements comme la Pride annuelle. Les jeunes générations montrent davantage d’ouverture d’esprit. Pour les voyageurs LGBTQ+, la Géorgie reste sûre à condition d’éviter les démonstrations publiques d’affection et de limiter leur visibilité aux espaces gay-friendly. Les locaux accueillent chaleureusement les touristes, mais la prudence demeure essentielle dans ce pays où l’acceptation progresse lentement face à un conservatisme encore dominant.

Tableau récapitulatif sur le danger et la sécurité en Géorgie

Mes expériences variées de voyage et de vie en Géorgie dans plusieurs villes m’ont confirmé que le pays constitue une destination extrêmement sûre sans aucun danger pour les voyageurs, opinion largement partagée par les expatriés et visiteurs. La sécurité routière représente la priorité absolue et nécessite des mesures proactives de réduction des risques lors de tous vos déplacements. L’anglais étant largement parlé et les Géorgiens étant réputés pour leur hospitalité exceptionnelle envers les étrangers, combiné à un taux de criminalité très bas, Tbilissi se révèle être une ville sûre dans un pays globalement sécurisé. Le bon sens reste essentiel en matière de sécurité personnelle, particulièrement sur les routes et en montagne, tout en restant informé des actualités concernant les manifestations auxquelles il ne faut jamais participer. Les femmes voyageant seules doivent toutefois redoubler de vigilance, notamment sur les sentiers de randonnée et dans les régions isolées.

Quel pays avez-vous déjà visité où la sécurité était un problème ? Partagez vos recommandations dans les commentaires ci-dessous.